Il est un voyageur Porté par l’appel du lointain, Le vent murmure à son plumage Que le temps est venu de prendre son élan Guidé par l’univers, il a pris son envol Sous lui, la terre a changé de peau Moi j’attends son retour blottie au coin du feu Rêvant de liberté sans oser y toucher… Technique mixte sur papier Disponible
Triptyque (acrylique sur cartons entoilés de 25*25) Disponible Elle hurle. Pas pour qu’on l’entende — depuis longtemps, plus personne n’écoute. Elle hurle parce que le monde pèse trop lourd pour un seul thorax, trop violent pour un seul cœur, trop injuste pour une seule peau. Sa bouche ouverte est un gouffre : celui où tombent les promesses trahies, les peuples écrasés, les enfants sans avenir, les terres brûlées et les mers pleines de fantômes. Elle hurle contre les murs qui montent plus vite que les ponts. Contre l’indifférence érigée en refuge, contre les guerres qui se dévorent entre elles, contre les vérités qu’on maquille jusqu’à les rendre méconnaissables. Elle hurle pour ceux qui n’ont plus de voix, pour ceux qu’on efface d’un trait de plume, pour ceux qu’on réduit à des chiffres sur un écran, à des silhouettes floues derrière un rideau de fumée. Son cri est un incendie : il ne demande pas la permission de brûler. Il ne cherche pas à plaire. ...
Nos yeux se cherchent, se trouvent, puis se perdent comme des enfants jouant à cache-cache… Rien ne se dit et pourtant tout est là : l’écho d’un peut-être, le vertige d’un instant vrai. … Puis l’on repart, chacun dans notre réalité, avec au fond des pupilles le secret d’un regard partagé. Ecoline sur papier (300mg) format A4 (N’est plus disponible)
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